BIOGRAPHIES SOMMAIRES

CORIOLIS Gustave Gaspard: Mathématicien français (Paris 1792 - Paris 1843)

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Il est notamment connu pour un théorême de mécanique ( théorême de CORIOLIS) concernant l'accélération dans les mouvements composés et qui intervient, en particulier, dans l'étude des courants aériens. (Acad. Sc. 1836) - (Le Petit Robert, dictionnaire illustré des noms propres, 1995)

Ingénieur et mathématicien français qui mit en évidence les "forces centrifuges composées", dites de Coriolis. Cet ingénieur des Ponts et Chaussées est l'auteur d'importants travaux en mécanique. En 1835, il démontra que l'accélération d'un mobile dans un référentiel en rotation est soumis à une complémentaire (force de Coriolis) perpendiculaire au sens de déplacement du mobile dans ce référentiel. Bien que de faible intensité à la surface de la Terre, cette force, produite par la rotation de la planète, influence la direction des courants marins et aériens. Elle produit une déviation vers l'est et explique, par exemple, le mouvement circulaire des ouragans.(CD Encarta 97)

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COULOMB Charles Auguste DE: Physicien français (Angoulême 1736 - Paris 1806)

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Après avoir établi les bases de la théorie de la résistance des matériaux (1773), énoncé les principes des machines simples et les lois du frottement (1779), découvert les lois de la torsion dont il proposa une: théorie (1784) et construit ainsi une balance de torsion électrique de grande sensibilité (1784), il définit les bases expérimentales et théoriques du magnétisme et de l'électrostatique: en 1785, il vérifia rigoureusement la loi qui porte son nom. formellement identique à la loi de la gravitation universelle et donnant l’intensité des forces d’attraction et de répulsion électrique en fonction de la distance. Il étudia la déperdition de l'électricité(1785), puis la distribution de l’électricité sur les conducteurs montrant notamment que les charges électriques se répartissent uniquement à.la surface (1786-1788); pour ces derniers travaux.il inventa son plan d’épreuvedont il fit la théorie, il définit sans le nommer le concept d’aimantation (1789-1801). Son nom fut donné à l’unité de charge électrique. (Acad. Sc. 1781) - (Le Petit Robert, dictionnaire illustré des noms propres, 1995)

Physicien français, pionnier de la théorie de l'électricité. Né à Angoulême, il servit comme ingénieur militaire pour la France aux Antilles, mais se retira à Blois à la Révolution française, pour continuer ses recherches sur le magnétisme, le frottement et l'électricité. En 1777, il inventa la balance de torsion qui permet de mesurer la force de l'attraction magnétique et électrique. Grâce à cette invention, Coulomb fut capable de formuler le principe, maintenant connu sous le nom de loi de Coulomb, qui gouverne l'interaction entre les charges électriques. En 1779, Coulomb publia le traité Théorie des machines simples, une analyse du frottement dans les machines. Après la Révolution, Coulomb quitta sa retraite et aida le nouveau gouvernement à concevoir un système métrique pour les poids et mesures. L'unité utilisée pour exprimer la quantité de charge électrique, le coulomb, tient son nom du physicien. (CD Encarta 97)

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EULER Léonard: Mathématicien suisse (Bâle 1707 - Saint-Pétersbourg 1783)

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Il fut l’élève de Jean Bernoulli, En 1727, il rejoignit les fils de son maître, Daniel et Nicolas Bernoulli, à la nouvelle académie: des sciences de Saint-Pétersbourg. II enseigne d'abord la physique (1730) puis les mathématiques (1733). il publia Traité de mécanique générale (1736) dans lequel il proposait une application rationnelle des résultats de l'analyse à la mécanique du point matériel et où il définissait les angles dits d’Euler qui permettent de déterminer la position d'un solide en mouvement dans un trièdre trirectangle. Frédéric II de Prusse le sollicita pour diriger la section de mathématiques et de physique de l'Académie de Berlin, où Euler s'installa de 1741 à 1768. Après avoir étudié le problème des isopérimètres, il exposa la première méthode générale pour résoudre les problèmes d’extrema, créant le calcul des variations en 1744, dans le Traité des isopérimètres. A Berlin Euler publia, en 1748 un grand ouvrage didactique, Introduction à l'analyse des infiniment petits, dans lequel il traite des fonctions en général de la théorie des nombres, de l'étude analytique des courbes planes et des surfaces. des fonctions exponentielles. logarithmiques et trigonométriques pour lesquelles il introduisit et fit adopter les symboles e (pour base des logarithmes). i (nombre imaginaire, et p , et mit en évidence les liens entre les fonctions trigonométriques et les fonctions exponentielles. Il y exposait en outre des études sur les coniques et les quadriques. Ce traité inspira ses successeurs et surtout Lagrange. La même année. Euler fut le lauréat d'un concours de l’Académie des sciences de Paris pour ses travaux sur les perturbations mutuelles de Saturne et de Jupiter. On lui doit l'introduction de la notion d'éther dans l'interprétation des champs électriques et magnétiques, qui ne fut abandonnée qu'au début du XXè s. Euler traita des intégrales multiples, des intégrales dites · " eulériennes ", des formules d'additions des intégrales elliptiques. Après Huygens et De Seguer, il définit dans Theoria motus corporum solidorum seu rigidorum (1780) le centre, les moments, les produits et les axes principaux d'inertie, et il réussit à intégrer les équations du mouvement d'un solide autour d'un point, étude reprise et généralisée ultérieurement par Lagrange et Poinsot. Il retourna à Saint-Pétersbourg auprès de Catherine II en 1766 et perdit complètement la vue, sans que cette infirmité l’arrêtât dans ses travaux. il écrivit pour la princesse d'Anhalt-Dessau les Lettres à une princesse d'Allemagne (1768 - 1772), où il expliquait ses idées, soutenant seul parmi ses contemporains la nature ondulatoire de la lumière. Dans son Algèbre. qui parut en russe en 1768 et en allemand en 1770, Euler fonda la théorie des formes quadratiques et tenta de démontrer le théorème fondamental de l'algèbre (existence d'au moins une racine complexe dans des équations à coefficients sur le corps des réels ou des complexes). il attacha aussi son nom à divers travaux sur le calcul des probabilités et les statistiques, étudia la géométrie plane euclidienne: cercle d’Euler ou cercle des 9 points (dans un triangle, c'est le cercle passant par les milieux des côtés, les pieds des hauteurs et les milieux des segments joignant l'orthocentre aux sommets), droite d’Euler (dans un triangle, droite joignant le centre de gravité, I'orthocentre. le centre du cercle circonscrit et le centre du cercle d'Euler). En physique, il généralisa Le principe d'hydrostatique de Clairaut (1755) et établit les lois générales de l'hydrodynamique. (Acad. Sc. 1755) - (Le Petit Robert, dictionnaire illustré des noms propres, 1995)

Mathématicien suisse, physicien, ingénieur et philosophe, l'un des fondateurs des méthodes de calcul différentiel et intégral. Son œuvre principale se situe dans le domaine des mathématiques, un domaine dont il fut l'un des fondateurs. Euler naquit à Bâle et y suivit à l'université les cours du mathématicien suisse Jean Ier Bernoulli, obtenant sa maîtrise à l'âge de seize ans. En 1727, sur l'invitation de Catherine Ire, impératrice de Russie, Euler devint membre de la faculté de l'Académie des sciences à Saint-Pétersbourg. Il fut nommé professeur de physique, en 1730, et professeur de mathématiques, en 1733. En 1741, il devint professeur de mathématiques à l'Académie des sciences de Berlin sous l'impulsion du roi de Prusse, Frédéric le Grand. Euler retourna à Saint-Pétersbourg en 1766, et y resta jusqu'à sa mort. Bien que handicapé avant l'âge de trente ans par une perte partielle de la vue et plus tard par une cécité quasi totale, Euler réalisa de nombreux travaux mathématiques importants et des centaines de mémoires mathématiques et scientifiques.

Dans son Introduction à l'analyse des infiniment petits (1748), Euler fut le premier à traiter de manière analytique et complète l'algèbre, la théorie des équations, la trigonométrie et la géométrie analytique. Dans ce travail, il traita le sujet du développement des séries de fonctions et formula la règle selon laquelle seules les séries infinies convergentes pouvaient être correctement évaluées. Il discuta aussi des surfaces à trois dimensions et prouva que les sections coniques sont représentées par l'équation générale du second degré à deux dimensions. D'autres travaux traitent du calcul, dont le calcul des variations, la théorie des nombres, les nombres imaginaires et l'algèbre déterminée et indéterminée. Euler apporta ses contributions dans les domaines de l'astronomie, de la mécanique, de l'optique et de l'acoustique. Ingénieur, il est l'inventeur de la première turbine. Parmi ses travaux, il faut citer Introduction à l'analyse des infiniment petits (1748), Réflexions sur l'espace et le temps (1748), Traité du calcul différentiel (1755), Établissement du calcul intégral (1768-1770), Introduction à la théorie de la nature (1755-1759) et Introduction à l'algèbre (1770).

Dans ses Lettres à une princesse d'Allemagne (1768 et 1772), il se révèle également philosophe, et combat les thèses de Christian Wolff et de G.W. Leibniz. Il se consacra également à la syllogistique d'Aristote, qu'il tenta de formaliser avec des cercles, qui annoncent les diagrammes de Venn, et à l'étude de la marche du cavalier au jeu d'échecs. (CD Encarta 97)

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FRESNEL Augustin: Physicien Français (Chambrais, auj. Broglie 1788-Ville-d'Avray 1827).

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Après avoir repris les expériences de Young sur les interférences lumineuses, il imagina des dispositifs personnels dont les miroirs de Fresnel et donna avec Arago la théorie du phénomène. il étudia également la diffraction de la lumière et présenta son grand mémoire à l'Académie en 1819. Créateur de l'optique moderne. il y montrait en fait que le théorie newtonienne de l’émission ne pouvait rendre compte de nombreux faits, mais que la nature ondulatoire de la lumière pouvait tout expliquer, notamment les phénomènes de polarisation. Après des résistances, une confirmation expérimentale de sa théorie fut apportée en 1850 par Foucault. Il étudia en détail la polarisation et découvrit l'existence des vibrations transversales (mais postula la présence de l'éther comme support des vibrations). Ce fut encore lui qui jeta les bases de l'optique cristalline. La théorie de Fresnel, établie pour les phénomènes d’optique, put s'appliquer par la suite aux autres rayonnements électromagnétiques. On lui doit également la lentille à échelons qui augmente considérablement le pouvoir éclairant des phares (1821). (Acad. sc. 1823)- (Le Petit Robert, dictionnaire illustré des noms propres, 1995)

Physicien français, fondateur de l'optique moderne, il proposa une explication de tous les phénomènes optiques dans le cadre de la théorie ondulatoire de la lumière.

Né à Broglie, en Normandie, il entra à l'École polytechnique en 1804. Membre des Ponts et Chaussées, il entra au service des Phares en 1809. Il fut membre de l'Académie des sciences en 1823 ainsi que de la Royal Society.

Il commença par réaliser de nombreuses expériences sur les interférences lumineuses, pour lesquelles il forgea la notion de longueur d'onde, et calcula les intégrales dites de Fresnel. Il fut le premier à prouver que deux faisceaux de lumière polarisés dans des plans différents n'ont aucun effet d'interférence. Il déduisit très justement de cette expérience que le mouvement ondulatoire de la lumière polarisée est transversal et non longitudinal (comme celui du son) ainsi qu'on le croyait avant lui. En outre, il fut le premier à produire une lumière polarisée circulaire. Pour expliquer la propagation des ondes lumineuses, Fresnel eut recours à la notion d'éther, malheureusement contradictoire avec d'autres expériences. Cette théorie sera abandonnée avec la relativité, mais les formules dites de Fresnel sur la réfraction sont toujours utilisées. Dans le domaine de l'optique appliquée, Fresnel conçut la lentille à échelons utilisée pour accroître le pouvoir éclairant des phares. De son vivant, les travaux scientifiques de Fresnel n'étaient connus que d'un petit groupe de scientifiques et certains de ses articles ne furent publiés qu'après sa mort.(CD Encarta 97)

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GULDIN Paul: (1577-1643)

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Mathématicien suisse surtout connu pour la découverte de deux théorèmes qu’il publia dans son Centrobaryca (1635-1641) et qui portent son nom. Ces théorèmes avaient été découverts par Pappus douze siècles auparavant et figure dans sa Collection Mathématique. La démonstration de GULDIN (distincte de celle de J. Kepler qui utilise des infiniment petits) comportait un certain nombre d’erreurs que corrigea le mathématicien italien Bonaventura Cavalieri. Encyclopaedia Universalis, 1980.

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HOOKE Robert: Savant anglais (Freshwater, île de Wight 1635 - Londres 1703)

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Esprit universel, il participa à l'essor de toutes les disciplines scientifiques de son temps et construisit de nombreux appareils. Ses polémiques avec Newton, dont il fut l'émule et l'adversaire, contribuèrent au développement rapide des théories scientifiques, notamment dans le domaine de l'optique mathématique; on doit à Hooke en particulier des recherches sur les interfaces, les colorations des lames minces et l'hypothèse des vibrations transversales. Mais surtout, il énonça la loi de proportionnalité entre les petites déformations élastiques et les efforts qui les produisent (loi de Hooke); il fut le premier à envisager l'emploi d'un pendule pour la mesure de l'accélération de la pesanteur. Grâce à ses recherches à l'aide d'un microscope (qu'il construisit lui-même), il peut être considéré comme le créateur de l'anatomie comparée des végétaux fossiles et vivants, et comme un précurseur de la théorie transformiste; on lui doit notamment les premières observations sur le tissu cellulaire. Auteur d'une théorie de la respiration et de la combustion faisant agir le "nitre aérien" , il effectua également de nombreuses observations sur le Soleil et les planètes. On appelle joint de Hooke le double joint de Cardan pour la transmission des rotations.- (Le Petit Robert, dictionnaire illustré des noms propres, 1995)

Astronome et mathématicien anglais, connu pour sa loi de proportionnalité entre les déformations élastiques d'un corps et les efforts auxquels il est soumis, dite loi de Hooke. Il imagina et perfectionna un grand nombre d'instruments et de dispositifs.

Assistant du physicien anglais Robert Boyle, il l'aida à la construction de la pompe à air. En 1662, Hooke fut nommé conservateur des expérimentations de la Royal Society et resta à ce poste jusqu'à sa mort. Il fut élu membre de la Royal Society en 1663 et nommé professeur Gresham de géométrie à l'université d'Oxford en 1665. Après le grand incendie de Londres, en 1666, il fut nommé géomètre de Londres. Il conçut de nombreux bâtiments, dont la maison Montague et l'hôpital Bethléem.

Hooke devança certaines des plus importantes découvertes et inventions de son époque, mais ne parvint pas à terminer la plupart d'entre elles. Il formula la théorie du mouvement planétaire comme un problème de mécanique et comprit, sans pouvoir la développer mathématiquement, la théorie fondamentale d'après laquelle sir Isaac Newton déduisit la loi de la gravitation. Les plus importantes contributions de Hooke furent la formulation correcte de la théorie de l'élasticité, qui affirme qu'un corps élastique s'étire proportionnellement à la force qui agit sur lui, et l'analyse de la nature de la combustion. Il fut le premier à utiliser le ressort de compensation pour le réglage des horloges, et il imagina des améliorations pour les horloges à balancier. Hooke fut également l'un des pionniers de la recherche microscopique et publia ses observations, dont la découverte des cellules des plantes.(CD Encarta 97)

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HUYGENS Christiaan: Physicien. mathématicien et astronome néerlandais (La Haye 1629 -· id. 1695).

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S'il étudie en Hollande, c'est à Paris. où il séjourna de 1665 à 1680, qu'il réalisa ses principaux travaux. il est l'auteur du premier exposé complet de calcul des probabilités (De rationciniis in ludo aleae, 1656) immédiatement après sa création par Pascal· et Fermat. On lui doit également le premier grand traite de dynamique (Horologium oscillatorium, 1673) dans lequel on trouve la notion de force centrifuge, l'étude du mouvement circulaire, de l’accélération de la pesanteur et de ses variations à la surface de La Terre, La théorie du centre d'oscillation, le principe de la conservation des forcés vives, des lois du choc élastique des corps, la définition du moment d’inertie et la détermination exacte de l’intensité de la pesanteur à l’aide du pendule, l’étude du pendule conique, la cycloïde considérée comme courbe tautochrone et la théorie du pendule cycloïdal, la théorie de la développée d'une courbe et du centre de courbure, enfin la découverte de l’horloge à balancier et du mécanisme à échappement. En astronomie, il comprit l’intérêt présenté par l'emploi d'un oculaire convergent pour les lunettes et put ainsi découvrir l’anneau de Saturne, la rotation de Mars et la nébuleuse d'Orion. Auteur, en 1678, d'une théorie ondulatoire de la lumière (Traité de la lumière, 1690). il imagina (contrairement à Newton qui développa une conception corpusculaire des oscillations longitudinales selon le sens de propagation et put donner une explication complète de la réflexion, de la réfraction et de la double réfraction, établissant dans ce dernier cas la loi de propagation du rayon " extraordinaire ". Il élabora une théorie de la propagation de la lumière, toujours très utile dans laquelle il considère chaque point atteint par la vibration comme une source de vibrations secondaires. (Acad. Sc. 1666)- (Le Petit Robert, dictionnaire illustré des noms propres, 1995)

Astronome, mathématicien et physicien hollandais. Ses découvertes scientifiques nombreuses et originales lui valurent une large reconnaissance et les honneurs parmi les personnalités scientifiques du XVIIe siècle. Avec son Traité de la lumière (1690), il est à l'origine de la théorie ondulatoire de la lumière (qui plus tard prit son nom) : chaque point d'ondes en mouvement est lui-même source de nouvelles ondes. En 1655, il inventa une méthode de meulage et de polissage des lentilles d'optique. La définition plus fine ainsi obtenue lui permit de découvrir un satellite de Saturne et de fournir la première description précise des anneaux de Saturne. La nécessité de disposer d'une mesure exacte du temps pour l'observation du ciel l'amena à appliquer les lois du pendule composé pour régler les mouvements des horloges et montres. En 1656, il conçut une lunette de télescope qui porte son nom. Dans Horologium oscillatorium (1673), il détermina la véritable relation existant entre la longueur d'un pendule et la durée d'oscillation, et présenta ses théories sur la force centrifuge des mouvements circulaires, qui aidèrent le physicien anglais Isaac Newton à formuler les lois de la gravité. En 1678, il découvrit la polarisation de la lumière par double réfraction sur la calcite. (CD encarta 97)

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Mis à jour le: 11/02/04